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Le spectacle en équilibre

Projet de troisième année

Programme : Logements collectifs

 

Lieu : Les Catalans, 13007 Marseille

 

Date : 21.01.2013

 

Résumé : Ce projet se développe en deux phases, un travail en groupe de trois portant sur la forme urbaine et un travail individuel à l’échelle du logement.

 

Situé à l’articulation entre un tissus villageois et une organisation plus récente en grands îlots, nous avons voulu que cette parcelle deviennent un moment dans la ville. 

 

Nous nous sommes inscrit dans la continuité de la «chaîne des parcs» un projet intéressant de végétalisation du bord de mer depuis le Vieux-Port jusqu’à la plage des Catalans situé directement au bas de la parcelle.

 

Nous avons travaillé avec une logique de bande avec une bande boisée de type pinède au centre qui descend jusqu’à la plage et deux bandes construites de part et d’autre qui se connectent à la ville et réaffirment les limites de la parcelle. On retrouve dans ces bandes construites des logements et des commerces de proximité en rez-de-chaussée.

 

Nous avons également créé deux places, une place basse en continuité de la plage, ainsi qu’une place haute qui sert de parvis au lycée Colbert situé au dessus de la parcelle. Cette dernière fait office de belvédère avec une vue sur la mer filtrée au travers des pins.

 

La partie individuelle de ce projet est un travail sur 60 logements. La barre de logement traditionnelle est morcelée en trois parties qui suivent le mouvements des restanques que nous avons créé pour gérer le nivellement de la parcelle. À travers elles nous avons voulu mettre en avant la déclivité du sol qui vient à pic de la falaise de Samatan, forte visuellement dans l’environnement direct de la parcelle, et qui descend jusqu’au niveau 0 de la mer.

 

La barre morcelée minérale referme les logements alors que les circulations et des activités collectives sont regroupées dans une partie en bois avec un rythme marqué.

 

Des passerelles individuelles pour chaque logement passe d’une partie à l’autre enjambant le vide dans un espace d’entre deux intéressant ou l’on quitte le collectif pour rejoindre l’intimité de son logement.

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